• C'était en 2014, j'écrivais "Un ami est mort" correspondant du JSL Jean-Jacques Vadot m'a fait parvenir, en exclusivité un nombre considérable de photos

    Pour terminer l'histoire

    Un ami est mort, à toutes les commémorations depuis 2010 année de création de mon blog, Jean-Jacques Vadot correspondant de Presse, m’a fait parvenir, en exclusivité, un nombre considérable de photos

     Jean-Jacques Vadot correspondant du Journal de Saône-et-Loire

    Au-delà du correspondant de presse pour notre titre, c’est aussi et surtout une figure locale qui s’est éteinte dans la nuit de vendredi à samedi 25 octobre 2014. Jean-Jacques Vadot était né à La Racineuse le 15 février 1952. L’enfant du pays avait effectué toute sa scolarité puis sa carrière professionnelle entre la Bresse et le Chalonnais. Entré en 1970 à la SNCF, il avait notamment été chef de service en gare à Chalon et avait achevé sa carrière en 2007 au triage, à Saint-Rémy.

    En parallèle, il était devenu correspondant de presse pour le JSL de 1985 à 1988 sur le secteur de Saint-Léger-sur-Dheune, puis environ deux ans à Chalon, avant de faire un break. «Il avait repris peu de temps avant sa retraite, jusqu’à la fin de l’année dernière. C’est notamment parce qu’il se sentait fatigué qu’il avait arrêté», détaille sa femme, Annie Vadot, par ailleurs ancienne salariée du JSL.

    Avec une aisance évidente pour les contacts humains, Jean-Jacques Vadot était très apprécié de tous. Pour le JSL, il couvrait notamment le secteur de Saint-Marcel, le sport et la page pêche. Véritable passionné de pêche, il affectionnait particulièrement attraper des corégones. Ses coins de prédilection se situaient dans le Jura, sur les lacs de Chalain et de Vouglans.

    Un ami est mort *** A toutes les commémorations, Jean-Jacques Vadot correspondant de Presse, m’a fait parvenir, en exclusivité, un nombre considérables  de photos

    Également amoureux de voyages (en priorité dans les pays chauds), lui et sa femme avaient acheté il y a peu un bateau pour vivre dessus et partir le plus souvent possible. « Il n’en aura malheureusement presque pas profité », regrette son épouse. « Tout est allé tellement vite, entre le diagnostic de cancer du poumon en mars dernier et aujourd’hui. Il n’avait pourtant que très peu fumé et avait arrêté il y a plus de vingt ans. Heureusement, il aura été énormément soutenu tout au long de sa maladie, lui qui connaissait beaucoup de monde».

    Outre son épouse Annie, Jean-Jacques Vadot laisse derrière lui sa fille, Delphine, ainsi qu’un petit-fils, Sacha, âgé de cinq ans. À eux trois, ainsi qu’à toute leur famille, le Journal de Saône-et-Loire adresse ses condoléances et affirme son plus profond et chaleureux soutien.

    Un ami est mort, à toutes les commémorations, Jean-Jacques Vadot correspondant de Presse, m’a fait parvenir, en exclusivité, un nombre considérables  de photos

     

    Un ami est mort, à toutes les commémorations, Jean-Jacques Vadot correspondant de Presse, m’a fait parvenir, en exclusivité, un nombre considérables  de photos

    Sur le blog de  Jean-Jacques Vadot nous pouvions lire le 5 mai 2014 :

    Des Pays-Bas à la France 

    Le voyage se fera en deux étapes : Oostvoorne/ Verdun et Verdun / Chalon-sur-Saône.

    Première étape. (Photos dans Album photos : Des Pays-Bas à la France)

    Beluga quitte le port d'Oostvoorne le vendredi 11 avril 2014 sous la responsabilité de son capitaine Daniel secondé d'Annie sa compagne et de Jean-Paul, un copain navigateur.

    Les propriétaires restent en France et pour cause : Jean-Jacques est hospitalisé.

    La matinée du 11 avril est consacrée au nettoyage et vidange du moteur. Un inventaire complet de l'unité est également effectué ainsi que l'avitaillement.

    Heusden, Wanssum, Maastricht (Pays-Bas), Beez (près de Namur en Belgique) sont les ports étrangers qui accueillent Beluga et son équipage.

    Le jeudi 17 avril, arrivée en France plus précisément à Givet.

    « Le moteur tourne bien, fait pas d'huile, pas d'eau. Le bateau est très confortable, facile à barrer. C'est un bijou » me confiera le capitaine le soir au téléphone.

    Un ami est mort *** A toutes les commémorations, Jean-Jacques Vadot correspondant de Presse, m’a fait parvenir, en exclusivité, un nombre considérables  de photos

    Un ami est mort, à toutes les commémorations, Jean-Jacques Vadot correspondant de Presse, m’a fait parvenir, en exclusivité, un nombre considérables  de photos

    A mon tour je présente à Annie, son épouse, qui a été aussi ma collègue de travail au Journal de Saône-et-Loire, ainsi qu'à toute sa famille, mes plus sincères condoléances. L’événement inattendu qui vient de survenir m’émeut très profondément. Sachez que je suis de tout cœur avec vous et partage votre tristesse.

    Michel Dandelot

    Pour terminer l'histoire et en hommage à Jean-Jacques Vadot, voici ce qui est paru dans le JSL il y a deux jours samedi 20 février 2016 :

    C'était en 2014, j'écrivais  "Un ami est mort" *** A toutes les commémorations, Jean-Jacques Vadot correspondant de Presse, m’a fait parvenir, en exclusivité, un nombre considérables  de photos

    Annie Vadot est l’heureuse capitaine du Beluga, un treize mètres acheté aux Pays-Bas qu’elle occupe à l’année. Photo Jean-Marc MAZUÉ

    Chalon - Mode de vie - Elle a choisi la vie à bord

    et ça lui va bien

    Annie Vadot vit à l’année sur son bateau le Beluga. Le JSL l’a rencontré au port de plaisance de Chalon. Tranches de vie au fil de l’eau.

    Si la cote de la Saône est haute en ce moment, ça ne dérange en rien Annie Vadot, 62 ans, retraitée. Car cette Chalonnaise a opté pour la vie à l’année à bord de son bateau.

    Jusqu’au bout du rêve

    « C’était un rêve, avec mon mari, Jean-Jacques. Déjà, toute petite, je voulais vivre sur une péniche et lui était passionné de pêche », se souvient Annie Vadot. En 2013, le couple vend son appartement et cherche une embarcation avec l’aide d’un courtier néerlandais spécialisé. « Nous avons vécu provisoirement chez des amis jusqu’à ce que nous visitions le Beluga. Nous avons eu le coup de cœur pour ce bateau. Nous nous sommes tout de suite sentis chez nous.»

    Un coup de cœur, que malheureusement, Jean-Jacques, tombé gravement malade, n’aura pas le temps de concrétiser. « Mais j’ai décidé d’aller jusqu’au bout du rêve. J’ai passé mon permis fluvial en juillet dernier et actuellement, je passe mon premier hiver dans mon bateau », poursuit-elle. Des instants magiques qu’Annie partage : «avec la famille, les amis, dès que les beaux jours reviennent, on se fait des balades », témoigne-t-elle. Et le Beluga fait la joie de Sacha, son petit-fils de 6 ans qui lui déclare à chaque fois : « Mamie, les nuits sont trop courtes sur ton bateau ». Car vivre sur un bateau de 13 mètres, « c’est comme vivre dans un cocon. Ça demande de la rigueur car l’espace est confiné. Chaque chose a sa place et il faut être très organisé mais la sensation est exceptionnelle. Et puis au port de plaisance de Chalon, j’habite en ville sans les inconvénients de la ville. Je fais tout à pied, il y a une grande solidarité entre les plaisanciers et le temps passe différemment sur un bateau. »

    SOURCE : http://c.lejsl.com/edition-de-chalon/2016/02/21/ils-ont-choisi-la-vie-a-bord-et-ca-leur-va-bien

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