• La France reconnaît un droit de pension aux victimes algériennes de la guerre d'Algérie, le FN hurle

     

    La France reconnaît un droit de pension aux victimes algériennes de la guerre d'Algérie, le FN hurle

    La Conseil constitutionnel a décidé que les civils algériens ayant subi des dommages physiques liés au conflit pouvaient prétendre à une pension.

    La France reconnaît un droit de pension aux victimes algériennes de la guerre d'Algérie, le FN hurle

    AFP La France reconnaît un droit de pension aux victimes algériennes de la guerre d'Algérie, le FN hurle.

    C'est peu dire que tout ce qui touche à la guerre d'Algérie provoque des réactions urticantes au Front national. Cette fois, c'est une décision du Conseil constitutionnel qui suscite l'indignation au sein du parti de Marine Le Pen. Les Sages ont en effet décidé jeudi 8 février 2018 que les victimes civiles algériennes du conflit pouvaient prétendre à une pension versée par la France.

    Dans le détail, les termes "de nationalité française" (qui réservaient ces avantages aux seules victimes françaises) ont été censurés par les pensionnaires de la rue Montpensier, lesquels invoquent le principe "d'égalité devant la loi" garanti par la Constitution.

    Le Conseil constitutionnel avait été saisi d'une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) par une victime algérienne de la guerre d'Algérie, Abdelkader K., qui avait été blessé par balle à l'âge de huit ans durant "les événements".

    Ce dernier, qui réside aujourd'hui à Bordeaux, était français au moment des faits. Mais la nationalité algérienne qu'il a obtenue après l'indépendance l'empêchait de prétendre à cette pension. C'est cette "condition de nationalité" qui a été jugée d'une "non conformité totale" avec le droit constitutionnel par les Sages.

    Une application du droit qui fait bondir plusieurs personnalités d'extrême droite qui, à l'instar de Steeve Briois, y voient une "insulte" à "tous ceux qui ont choisi et défendu la France". "À quand l'indemnisation de ceux qui ont été blessés en combattant des Français?", a interrogé sur Twitter le maire FN d'Hénin-Beaumont.

    "‪La 'justice', jamais à court d'idées pour flageller notre pays et indemniser la Terre entière avec l'argent des Français!", s'est également indigné le sénateur frontiste Stéphane Ravier.

    À noter que cette indignation dépasse le seul Front national, puisque l''ex-ministre des Transports (et très droitier) Thierry Mariani a lui aussi vilipendé cette "décision folle", ironisant sur la possibilité d'une pension reversée aux "anciens du FLN".

    Les questions liées à la guerre d'Algérie font souvent l'objet de polémique du côté du FN. En 2016, un incident a éclaté en marge de la commémoration faite par le maire de Hayange, Fabien Engelmann. Le maire FN de Beaucaire, Julien Sanchez, a lui fait débaptiser la "Rue du 19 mars 1962", date du cessez-le-feu en Algérie.

    Outre ces références historiques, il y a également un aspect électoral, le Front national s'employant depuis plusieurs années à capter le "vote pieds-noirs", notamment dans le sud-est de la France. 

    SOURCE : http://www.huffingtonpost.fr/2018/02/10/la-france-reconnait-un-droit-de-pension-aux-victimes-algeriennes-de-la-guerre-dalgerie-le-fn-hurle_a_23358060/

     

    La France reconnaît un droit de pension aux victimes algériennes de la guerre d'Algérie, le FN hurle

    C'était il y a trois ans : Roger Hanin, l'inoubliable interprète de "Navarro" décédait

     

     

    hurlez, Croassez,  mais cassez-vous

    les corbeaux

     de la fachosphère !!!

    quel plaisir de vous voir

    si souvent condamnés

     

    Tribunal correctionnel de Thionville : Un élu condamné pour violences à Hayange

    La justice a condamné l’adjoint au maire Francis Langlois à un mois de prison avec sursis suite aux incidents lors de la commémoration du 19-Mars.

    Le feuilleton hayangeois se poursuit… Après les polémiques sur l’œuvre d’art repeinte, les démissions de plusieurs adjoints ou les tensions avec le Secours populaire, la seule municipalité FN du Grand Est se retrouve à nouveau dans l’embarras. Hier, le tribunal correctionnel de Thionville a condamné le 3e adjoint au maire, Francis Langlois, à un mois de prison avec sursis.

    Plus que la peine, c’est la nature du délit qui est de nature à provoquer quelques secousses politiques. Car Francis Langlois a été reconnu coupable de violences par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné une incapacité supérieure à huit jours.

    Les faits jugés remontent au 19 mars dernier, jour de la commémoration de la fin de la guerre d’Algérie. Une cérémonie dont le maire de Hayange, Fabien Engelmann, ne reconnaît pas la légitimité, préférant la date du 5 décembre. Le 19 mars, il a donc envoyé son adjoint Francis Langlois et lui a demandé de lire un communiqué rédigé par ses soins, en préambule au traditionnel message du Secrétaire d’État aux Anciens combattants.

    Une jeune fille de 16 ans a alors tenté de lui arracher le discours des mains. Elle accuse Francis Langlois de l’avoir violentée à ce moment-là. La scène, filmée par des personnes présentes sur place, a fait un petit "buzz" sur les réseaux sociaux.

    Francis Langlois n’a jamais nié les violences, mais avait invoqué, par la voix de son avocat, la légitime défense lors de l’audience, début novembre. Le tribunal ne l’a pas suivi.

    « Cette condamnation est profondément injuste, réagit Fabien Engelmann. Le 19 mars, Francis Langlois s’est retrouvé dans un piège tendu par des opposants politiques. Et la justice, comme toujours, lui fait payer son étiquette Front national. » Le maire n’a donc pas la moindre intention de prendre ses distances avec son adjoint : « Francis Langlois a toute ma confiance. Il va bien évidemment faire appel et bénéficie donc toujours de la présomption d’innocence. »

    Anthony VILLENEUVE.

    SOURCE : http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-thionville-hayange/2016/12/07/un-elu-condamne-pour-violences-a-hayange

     


    Rappelez-vous de notre précédent article

    sur cette scandaleuse affaire 

     

     

    Tribunal correctionnel de Thionville : Un élu condamné pour violences à Hayange

     

     

    Justice

    Hayange : l'adjoint au maire accusé

    de violences sur une ado

     lors d’une cérémonie

    La dernière commémoration du 19-Mars à Hayange avait totalement dégénéré. L’adjoint au maire est poursuivi pour avoir violenté une adolescente.

    Bas du formulaire

    Hayange : la cérémonie du 19-Mars  part en vrille ***  19-Mars à Hayange : la réponse de l’Etat *** Une preuve honteuse en vidéo

     Tribunal de Thionville  

    «A Hayange, comme partout en France, on commémore la fin de la guerre d’Algérie », commence le président du tribunal correctionnel de Thionville. Oui, sauf qu’à Hayange, la cérémonie organisée en hommage aux victimes civiles et militaires est copieusement partie en vrille le 19 mars dernier.

    Devant le monument aux Morts, brouhaha, violences, sifflets se sont invités dans le protocole. Pour mémoire, le maire frontiste de la commune, Fabien Engelmann, avait refusé de se rendre à la cérémonie. Selon lui, le 5 décembre 1962 serait la seule date valable pour marquer la fin du conflit en Algérie. Il l’a fait savoir par la voix de son adjoint aux travaux, Francis Langlois, chargé de lire un communiqué signé par le maire, en préambule au message officiel du secrétaire d’Etat. Et cela a provoqué un véritable tollé sur place, tant auprès de la population que des membres des associations d’anciens combattants présents.

    L’instant a été filmé et abondamment partagé sur les réseaux sociaux. Les images sont à peine croyables. Elles ont d’ailleurs été soigneusement épluchées par les enquêteurs de police.

    Car l’affaire n’en est pas restée là. Elle finit devant la justice. En effet, une jeune fille, âgée de 16 ans, venue assister à la cérémonie avec des proches, accuse l’adjoint au maire de l’avoir violentée alors qu’elle tentait de lui retirer des mains le discours du maire dont il faisait la lecture. Du coup, on a rembobiné la scène, hier, à la barre du tribunal.

    Trois mois de prison avec sursis requis

    « J’ai vu un couple en larmes, choqué. Je n’ai pas supporté, raconte l’adolescente. M. Langlois m’a repoussée par la gorge, j’y suis retournée et il m’a porté un coup. » « Il n’y a aucune excuse pour légitimer ce geste », renchérit l’avocat de la victime, Me Jérôme Tiberi.

    Pourtant, le conseil parisien du prévenu, Me Paul Yon, plaide la légitime défense et donc la relaxe de son client, absent des débats.

    L’avocat fait d’abord un arrêt sur images sur un porte-drapeau qui, le premier, a tenté de faire taire l’élu en le poussant et en tirant sur son écharpe tricolore. Puis il évoque « l’attaque » inattendue de la jeune fille. Selon Me Yon, l’adjoint conspué a été piégé par des opposants au maire FN. « Au nom de quoi une bande d’activistes peut-elle lui interdire de parler ? », interroge-t-il.

    Quoi qu’il en soit, « la réponse est disproportionnée, martèle la substitut du procureur. C’est inadmissible de la part d’un représentant de l’autorité publique ».

    Trois mois de prison avec sursis sont requis contre l’élu, toujours en fonction. Le tribunal rendra sa décision le 7 décembre prochain.

    Frédérique THISSE.

    SOURCE : http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-thionville-hayange/2016/11/03/l-elu-accuse-de-violences-lors-d-une-ceremonie 

     

     

     

    Hayange : la cérémonie du 19-Mars  part en vrille

    Si l’extrême-droite et même une partie de la droite arrivent au pouvoir voici un exemple de ce qui peut se passer… les 19 mars… 

    Hayange : la cérémonie du 19-Mars

     part en vrille

    Fabien Engelmann, le maire de Hayange, avait annoncé qu’il ne participerait pas à la cérémonie, La présence d’un de ses adjoints, venu lire un discours, a mis le feu aux poudres. (Photo : RL)

    À Hayange, la cérémonie du 19-Mars a viré à la foire d’empoigne : un élu FN a préféré lire un texte du maire plutôt que le discours du secrétaire d’Etat, comme il est d’usage. Les anciens combattants veulent porter plainte.

    Un message posté sur sa page Facebook voici quelques jours avait donné le ton : Fabien Engelmann, maire Front national de Hayange, annonçait qu’il ne participerait pas à la cérémonie du 19-Mars, journée nationale du souvenir en hommage aux victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie. Et pour cause : l’élu ne reconnaît qu’une seule date pour marquer la fin du conflit en Algérie, celle du 5 décembre 1962. Alors il s’est abstenu…

    Son représentant, en revanche, l’adjoint aux travaux Francis Langlois, accompagné du conseiller municipal René Heidmann, a fait la démonstration qu’ici, les choses peuvent vite déraper.

    Devant le monument aux morts de Hayange-Marspich, l’adjoint au maire a pris quelques libertés avec le protocole officiel, préférant la lecture d’un communiqué de Fabien Engelmann au texte officiel du socialiste Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’État chargé des Anciens Combattants. Dans les rangs de la Fnaca (Fédération nationale des anciens combattants d’Algérie), du Souvenir francais et de l’UNC (Union nationale des anciens combattants), cette légèreté n’est pas passée. « On n’a jamais vu ça ! », témoignent Jean Paolini, président de la Fnaca, et le trésorier Jean-Baptiste Migloiretto, encore sous le choc. « Immédiatement, on lui a demandé d’arrêter cette lecture. « C’est une insulte aux anciens combattants », qu’on lui a dit. Mais il continuait, il continuait ! »

    Dans l’agitation, l’élu aurait administré une claque à une jeune femme tentant de lui arracher son discours. Et le lecteur zélé aurait lui-même écopé d’un coup de drapeau. Ambiance.

    « Scène surréaliste » 

    La scène a été jugée « surréaliste » par les observateurs. « Les gens criaient : « La honte ! La honte ! »» La Sonnerie aux Morts et La Marseillaise ont été lancées précipitamment, mais l’élu frondeur n’a rien lâché, poursuivant sa lecture jusqu’au départ du cortège. Abondamment hué, Francis Langlois a finalement eu le bon goût de ne pas s’inviter au pot de l’amitié…

    Jean Paolini, lui, ne décolère pas. « C’est plus qu’une déception. Il y a deux ans, le maire nous félicitait pour tout ce qu’on faisait. On le ressent comme une trahison. Ça nous fait mal au cœur, il n’a pas respecté ce moment extrêmement important », soupire le médaillé militaire. Présente également aux côtés de membres de l’association d’opposition Hayange Plus Belle ma Ville, la conseillère départementale Nathalie Chini s’est dite « dépitée ».

    La Fnaca veut porter plainte 

    Contacté, Fabien Engelmann s’est aussitôt rangé derrière Francis Langlois, qu’il dit « soutenir à 100 % ». Son discours « plus personnel » relayé par l’adjoint aux travaux ? : « On avait tout à fait le droit, ça se fait dans beaucoup de mairies ! En revanche, il est inacceptable de ne pas avoir laissé M. Langlois finir son discours. » Tout aussi inacceptable, selon lui, que de commémorer le 19-Mars. « C’est une mascarade ! Ces amnésiques oublient les Harkis, les pieds-noirs ou les rapatriés de la guerre d’Algérie. Je suis issu d’une famille de pieds-noirs, alors ne me parlez pas de 19 mars ! »

    La Fnaca, justement, n’entend pas passer l’événement sous silence. En plus d’exiger des explications auprès du maire, les anciens combattants veulent déposer plainte.

    Joan Moïse (Républicain Lorrain)

    SOURCE : http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-thionville-hayange/2016/03/19/hayange-la-ceremonie-du-19-mars-part-en-vrille

     

    19-Mars à Hayange : la réponse de l’Etat

    Après la cérémonie du 19-Mars mouvementée à Hayange, le secrétaire d’Etat chargé des Anciens Combattants juge cet épisode « regrettable ».

    La cérémonie du 19-Mars, journée nationale du souvenir en hommage aux victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie, avait été particulièrement houleuse à Hayange (lire RL du 20 mars). Point de départ de la polémique : la lecture, par Francis Langlois, adjoint au maire FN, d’un communiqué de Fabien Engelmann. Qui ne s’était pas déplacé d’ailleurs : l’élu frontiste se positionne en ardent défenseur de la date du 5 décembre 1962 pour marquer la fin du conflit en Algérie. Une position clairement réaffirmée dans son discours.

    Ecourtée, la cérémonie était partie en vrille. « Ces amnésiques restent butés sur la date du 19 mars qui est une véritable mascarade ! », avait-il déclaré à l’adresse des anciens combattants de la Fnaca (Fédération nationale des anciens combattants d’Algérie), tout en soutenant mordicus son adjoint.

    Au lendemain de cet épisode ubuesque, Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’Etat chargé des Anciens Combattants, a jugé les événements hayangeois « regrettables. La cérémonie du 19-Mars est conçue pour rendre hommage à ceux qui ont souffert avant et après cette date. C’est un moment de recueillement et de rassemblement, pour la paix des mémoires, qui doit passer par l’unité. A Hayange, certains ont visiblement préféré entrer dans la bataille politicienne. »

    Les anciens combattants avaient été choqués de voir le message officiel passer à la trappe. Si toutefois il avait été lu, comme le prétend Fabien Engelmann, « personne ne l’a entendu », affirme la Fnaca.

    « Message détourné »

    « Les maires peuvent s’exprimer », a précisé le secrétaire d’Etat. « Mais c’est très rare qu’il y ait des problèmes. Seulement, la Ville a diffusé un message qui divise en détournant volontairement le discours en un message politicien. Je le déplore. Ce n’est pas républicain. Et ce n’est pas le lieu. »

    Une jeune femme, mineure, a déposé une plainte le jour même. Dix jours d’ITT lui ont été délivrés suite à un coup au visage que lui aurait porté l’adjoint. Les faits s’étaient produits alors qu’elle tentait de lui arracher son discours. Ni les huées ni la sonnerie aux morts n’avaient stoppé l’élu dans sa lecture.

    Forts de nombreux soutiens, les représentants de la Fnaca ont d’ores et déjà sollicité le maire de Hayange pour un rendez-vous.

    En attendant, le scandale autour de cet événement n’en finit plus d’enfler. La vidéo publiée dès samedi soir sur la page Facebook de Hayange en Résistance, pilotée par l’association d’opposition Hayange plus belle ma ville, n’y est pas étrangère. Le film flirte avec les 50 000 vues.

    Joan MOÏSE.

    SOURCE : http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-thionville-hayange/2016/03/22/19-mars-a-hayange-la-reponse-de-l-etat 

     

    La France reconnaît un droit de pension aux victimes algériennes de la guerre d'Algérie, le FN hurle

    HAYANGE | Notre reportage sur la cérémonie bafouée par le Front national. Selon le Républicain Lorrain, le maire de Hayange soutient son adjoint violent "à 100%"... "La France apaisée" qu'ils disaient...

    MERCI DE CLIQUER SUR LE LIEN CI-DESSOUS POUR VOIR A L’ŒUVRE LE REPRESENTANT DU FN : 

    19 mars Hayange en Résistance

    La France reconnaît un droit de pension aux victimes algériennes de la guerre d'Algérie, le FN hurle

    « Communiqué de Tramor QUÉMENEURLe curé des loubards le Père Guy Gilbert avait dit : Johnny "fout le bordel au paradis"... en attendant, volontairement ou involontairement c'est dans sa famille qu'il fout le bordel »

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