• Les repas « cochon » nous connaissons mais à titre privé ou familial mais qu’une municipalité FN en fasse un grand « déballage » c’est de la provocation contre les musulmans…

    Les repas « cochon »

    nous connaissons mais à titre privé

    ou familial (et sans arrière pensées) mais qu’une municipalité FN en fasse un grand « déballage »

    c’est de la provocation

    contre les musulmans…

     

    NON AUX ISLAMOPHOBES

     

    ET A TOUS LES RACISTES...

     

    Les repas « cochon » nous connaissons mais à titre privé ou familial mais qu’une municipalité FN en face un grand « déballage » c’est de la provocation pour les musulmans…

     

    FN : "La fête du cochon est un apprentissage

    de la République" (Les valeurs de la République c'est le contraire de la stigmatisation d'une communauté)

    Le nouveau maire Front national d'Hayange, en Moselle, a tenu à organiser la fête du cochon dans sa ville. Fabien Engelmann, 35 ans, conteste son caractère peu rassembleur. Au nom de la tradition. Extrait de "13h15 le dimanche" du 5 avril 2015.

    "Vous m'emmerdez avec vos questions, ce sont toujours les mêmes, et vous emmerdez les Français, à voir le mal partout !" C'est la réponse de Fabien Engelmann aux journalistes. Au maire Front national d'Hayange, en Moselle, ils demandent s'il n'y a pas comme une provocation à organiser ainsi une fête du cochon, et s'il est bien dans son rôle d'élu.

    "C'est une fête somme toute classique, comme dans des centaines de collectivités françaises qui organisent la traditionnelle fête de la saucisse ou du cochon", explique cet ancien syndicaliste. L'un des participants, petit drapeau tricolore épinglé à sa chemise, précise devant son assiette de cochonnaille : "Quand vous organisez une fête chez vous, vous voulez rassembler tout votre quartier, ou vos propres amis ?"

    "Je défends la nation française"

    (Tu ne défends pas la nation française tu la salis)

    "Peuple de France amoureux des traditions, bienvenue ! À Hayange, le cochon ne date pas d'hier, contrairement à ce que les bonnes âmes et la cohorte véhémente de nos détracteurs voudraient laisser croire", affirme Fabien Engelmann depuis l'estrade dominant la place où se tient la fête. Végétarien lui-même, il précise : "Chacun est libre de manger ou pas du cochon. C'est un choix respectable."

    "La fête du cochon, c'est la solidarité, la joie palpable d'être ensemble et, n'ayons pas peur des mots, un apprentissage de la République. C'est l'oubli de soi et de ses petits intérêts pour davantage de fraternité et pour mieux vivre ensemble", développe-t-il devant un public familial. Des militants d'un mouvement d'extrême droite interdit en 2013 sont là aussi, et il tient à s'en démarquer : "Je suis quelqu'un de populaire. Je défends la nation française, et en aucun cas leur idéologie raciste et xénophobe." 

    Les repas « cochon » nous connaissons mais à titre privé ou familial mais qu’une municipalité FN en face un grand « déballage » c’est de la provocation pour les musulmans…

    Les menteurs
     
     

    Les affreux menteurs

     

    Sont de mauvais perdants 

     

    Enfoncés dans leurs erreurs 

     

    Et leurs mensonges permanents
     

    Le menteur se regardant 
     

    Dans son miroir déformant 
     

    Se voit grand savant

     

    Mais n'est qu'un malfaisant

     

    Les repas « cochon » nous connaissons mais à titre privé ou familial mais qu’une municipalité FN en face un grand « déballage » c’est de la provocation pour les musulmans…

     

    Les repas « cochon » nous connaissons mais à titre privé ou familial mais qu’une municipalité FN en face un grand « déballage » c’est de la provocation pour les musulmans…

    Personnellement je connais les "repas cochon"

    Ici c’est l’amitié, la convivialité

    La stigmatisation on connait pas !!!

    Fabien Engelmann (OK TU PIGES)

    Tradition

    Mon premier repas " cochon "

    Dans la Bresse bourguignonne

     

    Les repas « cochon » nous connaissons mais à titre privé ou familial mais qu’une municipalité FN en face un grand « déballage » c’est de la provocation pour les musulmans…

    Le boudin, toujours très apprécié. Photos P. A.

    Les repas « cochon » nous connaissons mais à titre privé ou familial mais qu’une municipalité FN en face un grand « déballage » c’est de la provocation pour les musulmans…

    Fromage de tête et terrine dans mon assiette.

    Le repas de cochon, c’est une tradition en Bresse. Nous avons testé celui de l’Amicale du don du sang de Montret. Une expérience inoubliable.

    On m’avait prévenu. Pour un repas de cochon, il faut se préparer à se remplir la panse. C’est donc avec deux simples petits suisses avalés à 8 heures en guise de petit-déjeuner que je m’invite à la salle des fêtes de Montret, à 12 h 30. En ce dimanche, la salle affiche complet : 150 convives ont répondu présent pour déguster les plats concoctés par l’amicale locale du don du sang. Laurent Largy, vice-président de l’association, m’accueille. « Pourquoi un repas de cochon ? Parce que c’est traditionnel en Bresse, ça rappelle l’époque où on tuait le cochon tous les ans. C’est la convivialité. »

    Rab de viande de soupe

    Petit tour en cuisine avant le début du repas. Sur le feu, dans d’énormes casseroles, cuisent environ 30 kg de collier de porc, quelque 300 patates, des carottes et de la sauce tomate. Toute la viande a été fournie par le boucher de Saint-Étienne-en-Bresse. Marie-France, une bénévole, prévient à l’avance. « Pour moi, ce sera un morceau de viande, une patate, et c’est tout. Mais il y en a qui mangent tout. Ici, c’est normal, c’est bressan. Pour cultiver la terre, il faut des réserves ! »

    Retour à table. Le premier plat est servi à 13 heures. C’est une soupe du bouillon qui a servi à cuire la viande, avec des vermicelles. Puis on garde nos assiettes pour la «viande de soupe» : un bon morceau de collier, avec des légumes. Jacky, mon voisin, est un habitué des repas du cochon. « Ça rappelle les moments anciens, en famille, à la ferme. Le cochon, à l’époque, c’était comme la pomme de terre de maintenant. Le jour de la moisson, on en profitait pour tuer le cochon pour le repas avec les voisins qui venaient nous aider. » Et Jacky de me glisser, en guise de conseil, en me voyant finir mon assiette. « Le secret, pour tenir, c’est de ne pas en reprendre. » Je me laisse malgré tout tenter par un peu de rab de collier.

    Forfait pour le rôti

    Arrivent ensuite deux tranches, une de fromage de tête, l’autre de terrine. J’ai du mal à finir. Pour Marie-Claire, en revanche, pas de problème pour vider son assiette. « On mange ce qu’on nous donne. » Un petit air d’accordéon vient de faire son apparition. Deux couples se lancent dans une valse endiablée.

    Puis à 15 h 30 arrive le boudin. Un beau morceau de 15 cm, cuit comme 149 autres dans trois grosses poêles à paella. Il est succulent. Je lui fais honneur, avant de déclarer forfait, repu, pour le rôti-salade, le fromage blanc et les desserts qui devaient suivre. Marc Pouillet, membre de l’amicale, me lance, un brin moqueur : « Il faut être à 300 % bressan pour tenir la distance. » Finalement, j’aurais dû écouter Jacky. J’en suis sûr, c’est ce rab de viande de soupe qui a causé ma perte. À charge de revanche.

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