Par micheldandelot1
JACQUES PRADEL, MON ALGERIE A MOI
Avec Samia ARHAB
Itinéraire d’un descendant de colons, qui raconte sa prise de conscience progressive de l’injustice du système colonial. Jacques Pradel est un homme bien déterminé à ce que la parole des pieds-noirs ne soit pas confisquée par l’extrême droite. À chaque date commémorative de la guerre d’Algérie, les médias dominants donnent la parole à des pieds-noirs caricaturaux ou leurs héritiers : tempérament de colon chevillé au corps, des nostalgiques de l’Algérie française dont l’accent truculent rendrait plus digeste une xénophobie crasse. L’exact inverse de Jacques Pradel, et de bien d’autres pieds-noirs emmitouflés dans la sobriété mais pas dans l’inaction, comme le prouve le collectif qu’il a créé en 2008 : l’Association nationale des pieds-noirs progressistes et de leurs amis (ANPNPA)
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